Spider-Man (2002)

L’Histoire :

Peter Parker est un jeune homme tout ce qu’il y a de plus normal. C’est un jeune homme chétif et malingre qui est un peu la tête de turc du lycée mais qui prend sur lui car il n’a pas la possibilité de faire autrement jusqu’au jour où …

Lors d’uns sortie organisée par l’école dans les laboratoires des Industries Osborn il se fait piquer par une araignée génétiquement modifiée.

Cette piqûre, a priori, sans conséquences aura pour effet de lui conférer l’ensemble des pouvoirs d’un arachnide : capacité de bondir dans tous les sens, de produire sa propre toile, d’adhérer aux murs et le plus important de tout un sixième sens qui l’avertit en cas de danger.   

Grâce a cette piqûre sa petite vie semble prendre une ampleur à laquelle le jeune homme n’avait même pas rêve : les brimades des camarades cesse, ses pouvoirs lui rapportent de l’argent dans des combats et Mary Jane – son amour de toujours – semble l’avoir remarqué.

Mais si toutes les choses semblent s’arranger, cela ne va pas durer. Un soir alors qu’il s’apprête à rentrer chez lui, le jeune homme apprend qu’un malfrat vient d’assassiner son oncle Ben. Et là, Peter apprend une des leçons les plus dures de la vie : Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.

A partir de ce jour, Peter n’aura de cesse de défendre la veuve et l’orphelin et ce souvent au péril de sa vie et ce surtout depuis le Green Goblin sévit dans les rues de Manhattan.

Critique :

Si Spider-Man me vient en premier a l’esprit lorsque je veux parler des films qui ont comptés pour moi c’est avant tout parce qu’il est mon héros favoris depuis que je suis enfant.

Mais si ce film m’a plus c’est pour d’autres raisons.

Parmi ces raisons, la première à me venir à l’esprit est l’harmonie que créent les effets spéciaux employés. En effet, je crois que cela a été la première fois que j’ai pu croire qu’un homme pouvait se déplacer de cette manière entre des buildings. Les effets sont si réalistes que le décrochage de l’acteur au numérique est quasiment imperceptible.

Le scénario sans etre aussi enfantin que les comics apporte un peu plus de profondeur aux personnages. Cependant, j’avais tout de même un petit peu peur que le film ne s’éloigne trop des comics originaux. Une peur qui, je m’en suis aperçu à la sortie de la salle, n’était pas fondée.

Enfin, une dernière raison tient dans le personnage du méchant du film : le Green Goblin. Un des ennemis historiques du héros arachnide. En effet, dans les comics il est son premier ennemi et j’avais un peu peur qu’il ne soit traité dans le film que comme un homme déguise qui s’amuse à terroriser une population. En réalité il n’en est rien. Le Green Goblin garde ce machiavélisme qui a fait de lui l’ennemi préféré des fans de Spider-Man.