Mon Cinéma

Biographie :

Alors qu’il est actuellement en plein tournage du remake de la série télé des années 80 Miami Vice (Deux Flics A Miami), si l’on remonte un peu la carrière de ce jeune irlandais, on découvre vite qu’elle ne remonte pas a si loin que ça. En effet, sa première participation à un film fut Tigerland de Joel Schumacher qu’il retrouvera deux ans plus tard pour Phone Booth.

A partir de cette première coopération la carrière du jeune irlandais décolle, une collaboration avec Steven Spielbergh et Tom Cruise, et la s’est le départ d’une carrière qui ne semble connaître aucun passage a vide

Quelques films avec Colin Farrell :

-         Tigerland ;

-         Phone Game ;

-         Minority Report ;

-         Daredevil ;

-         The New World ;

-         Intermission ;

-         The Recruit ;

-         Alexandre ;

-         Miami Vice ;

-         SWAT ;

-         Ordinary Decent Criminal.

Biographie :

Mis a part le fait qu’il soit en relation plutôt proche avec une certaine Angelina Jolie.

Non plus sérieusement Brad Pitt est un acteur que j’apprécie car parti de rien il a réussi a se construire une carrière exemplaire il a tourne avec les plus grands – acteurs comme réalisateurs – alors que le début de sa vie n laissait rien presager d’aussi grand.

Ne en Oklahoma, il intègre l’école de Kickapoo et commence une carrière assez remarque dans le milieu sportif. Apres avoir obtenu son diplôme de journalisme a l’Université du Missouri. Cependant, son diplôme ne le mit pas a l’abri de certaines déconvenues du destin : en effet, avant d’etre l’acteur mondialement reconnu et adule qu’il est aujourd’hui il fut un poulet géant pour la chaîne El Pollo Loco, ou encore déménageurs de réfrigérateurs.

Ce ne sera qu’en 1991 qu’il intégrera le plateau de tournage de Thelma & Louise et que sa carrière connaîtra l’essor qui semble n jamais connaître de fin …

Quelques films avec Brad Pitt :

-         Meet Joe Black ;

-         Snatch ;

-         Fighht Club ;

-         Interview With A Vampire ;

-         Mr & Mrs Smith ;

-         Ocean’s Eleven et Twelve (et bientôt Thirteen) ;

-         Legendes d’Autumne ;

-         Thelma & Louise ;

-         Troy ;

-         Sleepers ;

-         Se7en ;

-         Twelve Monkeys ;

-         Seven Years In Tibet ;

-         Spy Game ;

-         The Mexican ;

-         Babel.

L’Histoire :

Bruce Wayne n’est encore qu’un enfant lorsqu’il assiste au massacre de ses parents. Un vol a la tire qui s’est mal déroule et qui a coûte la vie de ses parents.

Terrorise il ne peut s’empêcher de sombrer dans le chagrin et de faire vœu sur la tombe de ses parents de les venger et devenir la Justice qui règnera sur les rue de Gotham City. Il décide alors de combattre sa peur et de s’en aller apprendre les arts martiaux et les arts de la dissimulation auprès de son nouveau maître Henri Ducard.

Durant tout son entraînement le jeun Bruce Wayne apprendra la maîtrise de soi, la maîtrise de son corps et plus important encore la maîtrise de ses peurs. C’est pour cette raison qu’il décide que la chauve-souris – objet de ses terreurs enfantines deviendra son emblème et la menace de tous les malfrats de Gotham.

Apres une longue période d’entraînement et d’épreuve en tout genre, Bruce Wayne est apte a faire son grand retour dans sa ville : Gotham a son héros et Batman n’entend pas laisser Gotham aux mains des gangsters…

Critique :

La seule raison pour laquelle ce film m’a marqué tient en un seul mot : l’action.

L’Histoire :

Thomas Anderson, un programmateur d’une importante firme d’informatique, découvre un jour que tout ce qu’il vit n’est qu’illusion …   

Thomas Anderson, un jeune homme tout ce qu’il y a de plus respectable, s’aperçoit un jour qu sévit sur Internet un hacker appelé Morpheus. Alors qu’il se lance a sa recherche pour lui poser cette question qui l’obsède depuis plus de trois ans – Qu’est-ce que la Matrice ? – il se fait accoster par un trio d’agent en costume qui lui révèle connaître ses actions souterraines. En effet, Thomas n’est pas que le jeune programmateur qu’il prétend etre, il est également Neo, un féroce hacker qui ne recule devant aucun défi.

Alors qu’il tente tant bien que mal a échappera ces agents, Trinity – une hacker aux pouvoirs surprenants – qui lui propose de rentrer en contact avec Morpheus.

Sautant sur cette occasion, Neo se précipite a sa rencontre et découvrira que tout ce qu’il croyait vivre n’était qu’une illusion, sa vie entière qu’une illusion ….

De plus, Morpheus lui apprend qu’il est l’élu d’une prophétie qui ramènerait l’équilibre entre les machines qui ont asservies la race humaine …

Critique :

La principale raison qui ont fait que ce film ma marque c’est bien sûr la révolution technologique qu’il a marque. En effet, The Matrix a été le premier film a faire autant appel aux effets spéciaux et c’est un des rares films qui puisse se vanter d’avoir créer un nouvel effet. Le Bullet Proof – c’est l’effet en cercle qui intervient a l’écran lorsqu’une balle est tirée – a été spécialement crée pour ce film. Un effet qui depuis 1999 – la sortie du premier volet de la trilogie – a fait son chemin et pas seulement dans l’univers des frères Washowsky. En plus, des effets spéciaux The Matrix a aussi également marque l’esprit des gens pour son code vestimentaire et son ambiance si particulière qui fait que chaque scène reste teinte de cet univers.

De plus les scènes de combat restent, encore avec le recul, de magnifiques chorégraphies dont seul Yuen Wo Ping – directeur des combats – a le secret. En effet, The Matrix n’a pas été son coup d’essai puisqu’en 1998, c’était déjà lui qui avait en charge les combats de Tigre & Dragon. Depuis sa participation au film, Yuen Wo Ping a également travaille sur bon nombre de film dont Le Secret Des Poignards Volants ou encore Hero.

Enfin, le scénario en lui-même reste révolutionnaire. S’appuyant sur une nouvelle futuriste – le Nécromancien – les frères Washowsky ont habilement meles notions philosophiques a d’autres notions beaucoup plus proches,  celles-ci des codes de la science-fiction.

L’Histoire :

Peter Parker est un jeune homme tout ce qu’il y a de plus normal. C’est un jeune homme chétif et malingre qui est un peu la tête de turc du lycée mais qui prend sur lui car il n’a pas la possibilité de faire autrement jusqu’au jour où …

Lors d’uns sortie organisée par l’école dans les laboratoires des Industries Osborn il se fait piquer par une araignée génétiquement modifiée.

Cette piqûre, a priori, sans conséquences aura pour effet de lui conférer l’ensemble des pouvoirs d’un arachnide : capacité de bondir dans tous les sens, de produire sa propre toile, d’adhérer aux murs et le plus important de tout un sixième sens qui l’avertit en cas de danger.   

Grâce a cette piqûre sa petite vie semble prendre une ampleur à laquelle le jeune homme n’avait même pas rêve : les brimades des camarades cesse, ses pouvoirs lui rapportent de l’argent dans des combats et Mary Jane – son amour de toujours – semble l’avoir remarqué.

Mais si toutes les choses semblent s’arranger, cela ne va pas durer. Un soir alors qu’il s’apprête à rentrer chez lui, le jeune homme apprend qu’un malfrat vient d’assassiner son oncle Ben. Et là, Peter apprend une des leçons les plus dures de la vie : Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.

A partir de ce jour, Peter n’aura de cesse de défendre la veuve et l’orphelin et ce souvent au péril de sa vie et ce surtout depuis le Green Goblin sévit dans les rues de Manhattan.

Critique :

Si Spider-Man me vient en premier a l’esprit lorsque je veux parler des films qui ont comptés pour moi c’est avant tout parce qu’il est mon héros favoris depuis que je suis enfant.

Mais si ce film m’a plus c’est pour d’autres raisons.

Parmi ces raisons, la première à me venir à l’esprit est l’harmonie que créent les effets spéciaux employés. En effet, je crois que cela a été la première fois que j’ai pu croire qu’un homme pouvait se déplacer de cette manière entre des buildings. Les effets sont si réalistes que le décrochage de l’acteur au numérique est quasiment imperceptible.

Le scénario sans etre aussi enfantin que les comics apporte un peu plus de profondeur aux personnages. Cependant, j’avais tout de même un petit peu peur que le film ne s’éloigne trop des comics originaux. Une peur qui, je m’en suis aperçu à la sortie de la salle, n’était pas fondée.

Enfin, une dernière raison tient dans le personnage du méchant du film : le Green Goblin. Un des ennemis historiques du héros arachnide. En effet, dans les comics il est son premier ennemi et j’avais un peu peur qu’il ne soit traité dans le film que comme un homme déguise qui s’amuse à terroriser une population. En réalité il n’en est rien. Le Green Goblin garde ce machiavélisme qui a fait de lui l’ennemi préféré des fans de Spider-Man.